Nos vins

DÉCOUVREZ

LE DÉTAIL DE NOTRE GAMME

Clarisse Chardonnay, Vin de France

Clarisse Chardonnay, Vin de France

Notre premier millésime en blanc, provenant de notre parcelle n°1. Un élevage à 50% en barriques de chêne français pendant 8 mois et 50% en cuve inox. Un vin très aromatique, sur la typicité du Chardonnay avec une touche crémeuse liée à l’élevage en barriques, bien contrebalancée par la fraîcheur des jus restés en cuve. A déguster dans sa jeunesse autour de beaux produits de la mer ( crustacés, poissons) ou de viandes blanches grillées ou en sauce.

Chardonnay
8 mois ( 50% en barriques de chêne français - 50% en cuve inox )
Certifié Bio depuis 2019 - En conversion depuis 2016
Voir dans notre boutique en ligne
CHÂTEAU CLARISSE

CHÂTEAU CLARISSE "VIEILLES VIGNES", PUISSEGUIN-SAINT-EMILION

Notre cuvĂ©e iconique, faisant la part belle Ă  nos vieilles vignes de Merlot, dont certaines ont plus de 70 ans. AssemblĂ© avec le Cabernet Franc et depuis 2019 avec le Carmenère, il en rĂ©sulte un vin soyeux, aux tanins fondants, qui ravira les amateurs de grands vins et les plus connaisseurs. Un des fleurons de l’appellation qui s’exprimera Ă  merveille accompagnĂ© de gibiers ou de viandes au gout prononcĂ© et qui possède un excellent potentiel de garde.

Merlot - Cabernet Franc - Carménère
14 mois ( 50% neuves - 50% d'un vin)
Certifié Bio depuis 2019 - En conversion depuis 2016
Voir dans notre boutique en ligne
CHÂTEAU CLARISSE, PUISSEGUIN-SAINT-EMILION

CHÂTEAU CLARISSE, PUISSEGUIN-SAINT-EMILION

Notre cuvée générique, parfaite alliance entre le Merlot et le Cabernet Franc, assemblage qui a fait la réputation des grands vins du St Emilionnais à travers le monde. Un vin fruité et puissant à la fois qui ravira le plus grand nombre accompagné de belles viandes rouges.

Merlot - Cabernet Franc - Petit Verdot
12 mois ( 50% neuves - 50% d'un vin)
En conversion depuis 2016
Voir dans notre boutique en ligne
CHÂTEAU CLARISSE, CASTILLON CÔTES DE BORDEAUX

CHÂTEAU CLARISSE, CASTILLON CÔTES DE BORDEAUX

Notre seule cuvĂ©e monocĂ©page, 100% Merlot, provenant d’un terroir argilo-calcaire d’exception. Un vin fruitĂ© et gourmand Ă  apprĂ©cier aussi bien dans sa jeunesse qu’après quelques annĂ©es de garde qui a vocation Ă  devenir l’une des rĂ©fĂ©rences de l’appellation.

Merlot
12 mois (50% neuves - 50% d'un vin)
Certifié Bio depuis 2019 -En conversion depuis 2016
Voir dans notre boutique en ligne

DÉCOUVREZ

LE JOURNAL DES MILLÉSIMES

2024
2023
2022
2021
2020
2019
2018
2017
2016
2015
2014
2013
2012
2011
2010

Journal du Millésime 2024

Après un printemps très humide et peu ensoleillé, la vigne a subi, dès avril, une pression de mildiou exceptionnelle, renforcée en mai par des pluies régulières qui mettaient la récolte en péril jour après jour. La vigilance était de rigueur : l’ajustement des travaux en vert et une protection mesurée ont été décisifs pour préserver le potentiel de la récolte.

L’été a débuté par un épisode de grêle touchant une partie du vignoble du Fronsadais et de Pomerol. Malgré une courte période ensoleillée qui a pu laisser espérer une belle récolte, les pluies fréquentes ont à nouveau fragilisé la vigne et mis en danger les espoirs d’une récolte optimale.

Septembre a commencé frais et pluvieux avant de connaître un net redoux en fin de mois, ouvrant, par touches successives, des fenêtres de maturité. Cela a imposé des vendanges échelonnées et un tri particulièrement rigoureux.

À Puisseguin, 2024 se présente comme un millésime aromatiquement fruité : la précision des choix, tant à la vigne qu’en cuverie, les extractions maîtrisées et les élevages mesurés ont permis de préserver tout l’éclat du fruit.

Au final, 2024 signe des rouges à l’équilibre frais, aux alcools modérés et à la trame digeste, privilégiant la pureté du fruit et la lisibilité du terroir plutôt que la puissance.

Journal du Millésime 2023

Si dans un premier temps l’automne 2022 a été très chaud, dans le prolongement de l’été; l’hiver a lui été légèrement plus froid que les années précédentes, mais dans la moyenne décennale, avec des précipitations variables selon les mois, mais elles aussi normales. Le printemps a été plus chaud que la moyenne et nous avons basculé en Avril dans une atmosphère humide et chaude, avec des précipitations régulières, même si peu abondantes.

C’est cette combinaison de facteurs qui a provoqué une forte pression mildiou, particulièrement en juin . Le suivi de notre équipe dans le vignoble a dû être méticuleux, les cadences de traitements sans faille et la qualité du travail exemplaire, d’autant plus dans notre démarche en agriculture biologique.

Nous avons donc dû redoubler d’effort pour mettre le vignoble et les raisins dans les meilleures conditions de maturité en vue des vendanges. L’été survient, avec sa sécheresse et ses températures élevées (2°C au-dessus des normales) qui donnent un coup de fouet à la maturité de notre Chardonnay, qui sera récolté la dernière semaine d’Août. Entre le 4 et le 7 septembre, les températures montent encore d’un cran, lançant les récoltes de nos cépages rouges issus de jeunes vignes, à partir du 10. Les précipitations du 10 au 12 septembre nous ont forcé à reporter le reste des vendanges de quelques jours , en commençant par nos Merlots puis nos Cabernets Francs, pas du tout sujet au mildiou tout au long de la saison.

Notre restructuration entamée dès 2009 pour aller vers 50% de Cabernet Franc planté sur le vignoble c’est une nouvelle fois avérée payante, ces derniers ayant été particulièrement qualitatifs cette année et ayant permis à nos équipes de vendanger sereinement, de manière saccadée, afin de d’appréhender au mieux l’hétérogénéité de maturité sur nos différentes parcelles. Comme chaque année, nous avons terminé avec notre parcelle de Carménère, qui aura elle bénéficié d’une fin septembre estivale pour atteindre sa parfaite maturité.

Au final, les potentiels aromatiques de nos jus sont bon quel que soit le cépage, avec une bonne intensité aromatique sur des profils de fruits mûrs. Le millésime s’annonce donc digeste, gourmand et agréable, sans excès et sans opulence. Nos assemblages, dans la continuité des millésimes précédents, avec toujours une proportion de plus en plus importante de Cabernet Franc, chercheront à conserver toute la rondeur et le côté soyeux des tannins. Nul doute que les vins de ce millésime “ de vignerons” sauront s’apprécier dans leur jeunesse mais également après de belles années de garde, afin de révéler tout leur potentiel.

Journal du Millésime 2022

L’automne puis l’hiver ont été particulièrement secs (on observait déjà un déficit de 35% en eau), assez doux, le mois de février a même été plutôt chaud (2,2 degrés au-dessus des normales saisonnières). Cette douceur hivernale, a été responsable d’un débourrement précoce fin mars.

L’été a été anormalement chaud : difficile en effet de ne pas avoir remarqué les épisodes climatiques répétés en juin, juillet puis août, avec des températures très élevées, jusqu’à quatre degrés au-dessus des normales, et plusieurs jours d’affilée.

La véraison a lieu généralement fin juillet. La vague de chaleur mi-juillet a bloqué la véraison par endroits : la vigne a retenu son souffle, la photosynthèse a été ralentie, les organismes mis à rude épreuve. Cependant, les conséquences de cet été caniculaire ne seront pas du tout les mêmes qu’en 2003. Certes la production de composés phénoliques et la petite taille des baies sont des facteurs physiologiques limitant de flétrissement. Il faut surtout souligner que la viticulture a depuis 20 ans énormément évolué. Elle a dû s’adapter à la nouvelle donne climatique. Les équipes sont aujourd’hui soucieuses des équilibres, cherchent à recréer la vie dans les sols, structurent la matière organique pour une meilleure alimentation des plantes, créent un complexe argilo-humide favorable pour que les sols soient aérés et pas compacts. De toute évidence, les vignes dont les sols ont été travaillés dans cet esprit ont beaucoup mieux résisté aux à-coups de chaleur. Les raisins sont ainsi plus équilibrés, moins déshydratés, les arômes plus frais, moins pruneaux. On doit clairement tirer un grand coup de chapeau à ces vignerons, à leurs équipes, qui ont dû anticiper (en prenant la décision de moins effeuiller par exemple), et qui se sont montrés plus précis, plus pointus encore dans leur travail.

Des vendanges à plusieurs vitesses Les conditions très chaudes en juillet et août favorisent la dégradation des acides organiques (acide malique et acide tartrique principalement) présents dans les baies de raisin. Les contrôles de maturité répétés début août mettent en évidence une chute rapide (plus de 50%) de l’acidité totale et surtout de l’acide malique donnant aux vins un caractère éclatant et vif.

Les vendanges 2022 se sont conduites dans des conditions extrêmement agréables, sans stress. On a pris le temps de ramasser à la carte, au gré des décalages de maturité, puisque la météo très clémente le permettait. Début septembre, on avait encore parfois d’importants décalages entre la maturité technologique (qui était là), polyphénolique (qu’on a tardé davantage à obtenir) et aromatique.

Cette année plus encore, il ne fallait pas aller trop loin en vinification : ne pas trop extraire, se mesurer et se retenir ; à ce titre, on a joué une course de fond cette année, pas un sprint ! Les temps, les températures de macération ont été adaptés en fonction des éventuels blocages de la plante, de l’âge des vignes, etc. Quand on avait de beaux potentiels, on a surtout cherché la mesure et l’équilibre pour éviter de tomber dans les travers d’une sur-extraction de tanins. Pour autant il fallait éviter une sous extraction donnant des vins longilignes, ne faisant ressortir que l’alcool. La dégustation tout au long des macérations a été capitale pour ajuster au mieux le travail des vins et pour rechercher les meilleurs équilibres. Les degrés, quant à eux, ne devraient pas être aussi affolants que dans les années dites solaires. Il n’est pas rare de trouver des merlots à 14,5 et quelques cuves autour des 15. Les cabernet sauvignon et francs sont quant à eux autour des 13-13,5. Il est important de prendre en compte les équilibres entre l’alcool, le pH, l’acidité totale et bien sûr la richesse en composés phénoliques pour comprendre que 2022 n’est pas un millésime caricatural mais de façon surprenante bien équilibré. Nous le soulignions, la conduite du vignoble a été adaptée aux conditions du millésime : la hauteur de palissage a souvent été abaissée pour avoir moins de feuilles, donc moins de photosynthèse, moins de sucre dans les raisins, et donc moins d’alcool. On a également moins effeuillé (pour avoir moins de concentration des baies), les porte-greffes sont aujourd’hui moins vigoureux, on enherbe davantage ; les équipes ont fait des choix décisifs – et efficaces - pour affronter ce type de climat. Elles sont beaucoup moins interventionnistes qu’autrefois.

Julien Viaud, Œnologue Consultant - Cabinet Michel Rolland & Associés

Journal du Millésime 2021

En 2021, le vignoble bordelais renoue avec une longue tradition de millésimes sauvés par une arrière-saison à la climatologie inespérée. Comme souvent, les merlots ont davantage souffert de l’été maussade et de l’arrêt de croissance tardif, en particulier sur les sols légers. Si les raisins ont été récoltés avec des teneurs élevées en acide malique, les vins présentent, après fermentation malo-lactique, des niveaux de pH et d’acidité tout à fait classiques.

Ils sont fruités, correctement colorés et avec une texture souple. La taille importante des baies, caractéristique singulière de cette année, se ressent par un manque de concentration fréquent en milieu de bouche. Sur les meilleurs terroirs du Libournais, présentant un fonctionnement hydrique plus régulier, les merlots possèdent néanmoins plus de chair et peuvent être bien réussis.

Les cabernet-francs de la rive droite sont de très bon niveau. L’épisode anticyclonique de début octobre a permis de différer leur récolte et ils en ont pleinement profité. Parfumés et veloutés, ils jouent un rôle important dans les assemblages.

L’installation du beau temps en octobre a permis de rassurer les viticulteurs et d’atteindre, généralement, de bons niveaux de maturité pour les cabernet-sauvignon. Colorés, frais et aromatiques, les vins de cabernet-sauvignon possèdent une structure tannique sérieuse et une belle profondeur, en particulier sur les grands terroirs de graves.

Si les vins rouges n’ont pas, en début d’élevage, le niveau d’intensité et de concentration des trois millésimes précédents, de belles réussites existent sur les deux rives. 2021 restera ainsi dans les mémoires comme un millésime particulièrement éprouvant pour les vignerons, heureusement récompensés de leurs efforts par une fin de saison providentielle.

Journal du Millésime 2020

L’automne puis l’hiver ont été particulièrement secs (on observait déjà un déficit de 35% en eau), assez doux, le mois de février a même été plutôt chaud (2,2 degrés au-dessus des normales saisonnière). Cette douceur hivernale, responsable d’un débourrement précoce fin mars, a eu cette année encore des conséquences dramatiques, provoquées par le gel de printemps (du 2 au 5 avril).

Ce gel fut assez précoce dans la saison, et les contre-bourgeons se sont développés rapidement. Même si ces bourgeons secondaires sont moins fertiles et que cela signifie souvent une baisse de volume, le cycle végétatif a néanmoins démarré de façon décalée, mais favorisé par la belle arrière-saison que nous avons eue finalement.

Difficile en effet de ne pas avoir remarqué les épisodes climatiques répétés en juin, juillet puis août, avec des températures très élevées, jusqu’à quatre degrés au-dessus des normales, et plusieurs jours d’affilée. La véraison a lieu entre le 8 et le 10 juillet pour les plus précoces (jeunes vignes à Pomerol, Graves de Pessac), mais plus généralement fin juillet.

Les contrôles de maturité répétés début août mettent en évidence une chute rapide (plus de 50%) de l’acidité totale et surtout de l’acide malique donnant aux vins un caractère éclatant et vif. Pour les rouges, il faut d’abord dire que les vendanges 2022 se sont conduites dans des conditions extrêmement agréables, sans stress. On a pris le temps de ramasser à la carte, au gré des décalages de maturité, puisque la météo très clémente le permettait. Début septembre, on avait encore parfois d’importants décalages entre la maturité technologique (qui était là), polyphénolique (qu’on a tardé davantage à obtenir) et aromatique). En revanche, l’extractibilité et la qualité des tanins n’étaient pas optimales alors que les raisins étaient déjà riches en sucres et que les valeurs en acidité totale, acide malique et tartrique indiquaient de bons équilibres. Il a donc fallu adapter les stratégies de ramassage aux terroirs et organiser les séquences de ramassage pour récolter des raisins parfaits. Dans cette période cruciale, on pistait l’évolution des équilibres entre l’alcool qui montait et les peaux qui pouvaient encore rester dures. La météo continuait d’être souriante, on n’a pas eu de pluie, pas de pression, rien ne semblait indiquer qu’il fallait ramasser ; cette année, on a vraiment dû pousser les vignerons à vendanger !

Cette année plus encore, il ne fallait pas aller trop loin en vinification : ne pas trop extraire, se mesurer et se retenir ; à ce titre, on a joué une course de fond cette année, pas un sprint ! Les temps, les températures de macération ont été adaptés en fonction des éventuels blocages de la plante, de l’âge des vignes, etc. La dégustation tout au long des macérations a été capitale pour ajuster au mieux le travail des vins et pour rechercher les meilleurs équilibres. Il est important de prendre en compte les équilibres entre l’alcool, le pH, l’acidité totale et bien sur la richesse en composés phénoliques pour comprendre que 2022 n’est pas un millésime caricatural mais de façon surprenante bien équilibré.

Les rouges sont des vins riches, denses, avec une certaine puissance et une réelle onctuosité, mais sans lourdeur, comme l’étaient parfois les millésimes solaires d’autrefois. En 2022, on a cherché à conserver la tenue et l’acidité, l’aromatique plutôt fraîche et éclatante qu’on avait au moment de la récolte. On est restés vigilants au moment des vinifications, on n’a pas voulu déséquilibrer les vins qui avaient une acidité naturelle, on a prolongé les macérations pour trouver le charme, on a construit une trame et une texture de milieu de bouche pour contrebalancer des alcools parfois plus élevés.

2022 est un grand millésime de Bordeaux taillé pour la garde, avec un équilibre bien bordelais que les amoureux des vins de Bordeaux aiment tant !

Journal du Millésime 2019

2019, un millésime aux multiples rebondissements.

Après la relative fraîcheur et l’humidité du mois de janvier, la douceur s’est installée de février à mars, avec des journées anormalement sèches et chaudes (+2°C par rapport aux normales saisonnières), lesquelles ont provoqué un débourrement précoce, toujours source d’inquiétude par rapport aux gelées tardives.

Les peurs étaient justifiées : le 4 et 14 avril ainsi que le 5 et 6 mai, le mercure avoisinait 0°C. Certaines parcelles, près des bois ou dans des couloirs venteux, ont été touchées. Début juin, l’augmentation significative des températures a permis une floraison et une nouaison rapides et homogènes. L’anticyclone s’est alors installé et nous a protégés tout au long de l’été.

L’été est marqué par une succession d’épisodes caniculaires avec un record de 40°C atteint le 23. En septembre, les fortes amplitudes thermiques (12°C nuit et 26°C jour) ont permis une très bonne synthèse des anthocyanes. Les vendanges se sont déroulées en deux temps. Première phase, mi septembre, sous un ciel radieux et des températures caniculaires. Les merlots sont rentrés mûrs et goûteux. Fin septembre, l’arrivée d’une dépression a engendré une diminution salvatrice des degrés alcooliques potentiels et permis aux cabernets francs de parvenir à une maturité optimale. Deuxième phase de récolte début octobre pour récolter les merlots tardifs et les premiers cabernets francs. Les vendanges se sont terminées mi octobre sur les parcelles de Cabernets francs tardives.

Journal du Millésime 2018

Journal du Millésime 2017

L’hiver 2016/17 est marqué par une sécheresse historique. Il faut attendre février pour que les pluies reviennent. Si décembre et janvier furent froids et secs, la douceur et l’humidité de février/mars ne permettent pas de rattraper le manque de pluviométrie. Le millésime commence donc avec des sols secs, facilement réchauffés par les premiers rayons de soleil du printemps, ce qui entraîne un débourrage précoce. Les bourgeons éclosent dans les derniers jours de mars. Avec des sols secs et chauds, la vigne pousse à toute vitesse et il n’y a pas de pluie. On constate déjà des pousses de 10 cm avec, parfois, une dizaine de feuilles étalées. Les petites mannes laissent espérer une jolie récolte, homogène et relativement précoce. Dès le 16, le temps se refroidit radicalement, les nuits sont glaciales. Dans la nuit du 20 avril, le gel frappe une première fois le vignoble puis, au petit matin du 28.

Hormis quelques épisodes orageux, c’est la chaleur et la sécheresse qui caractérisent ce mois de mai. À la fin de la première quinzaine, les vignes gelées repartent sur des bourgeons de seconde génération. Les vignes non gelées continuent leur pousse et ouvrent leurs premières fleurs dès la fin de mois. Les vignes touchées poussent de manière anarchique, buissonneuses, et demandent un travail précis d’ébourgeonnage.

Juin est estival ; on semble installés au cœur de l’été. Les températures sont parfois caniculaires mais les orages sont fréquents, évitant ainsi les problèmes de stress hydrique. La croissance de la vigne est très rapide et nécessite beaucoup de main-d’œuvre pour entretenir les palissages. La floraison est groupée et rapide.

Dès les premiers jours de Juillet l’été semble s’éloigner. Quelques journées chaudes et surtout des nuits douces contribuent toutefois à donner une moyenne de température plutôt correcte. Le manque de lumière et de soleil se fait ressentir. Les pluies orageuses de juin ont suffisamment remonté le taux d’humidité des sols. C’est finalement un mois plus propice aux grappes de seconde génération, qui se retrouvent fin juillet au stade de fermeture.

Le soleil revient très fort durant les premiers jours d’août, mais la fraîcheur reprend le dessus dès le 5, et il faut attendre le 20 août pour retrouver des températures estivales.

Dès les premiers jours de septembre, on assiste à un changement de temps brutal qui durera jusqu’à la moitié du mois. Le manque de soleil estival engendre des niveaux très élevés d’acide malique et les peaux sont épaisses et facilement extractibles. Il est possible d’interpréter cela comme un phénomène de puissance et de fraîcheur, l’acidité jouant alors le rôle d’un sel relevant l’intensité aromatique, mais masquant sans doute une légère fragilité.

Journal du Millésime 2016

Tout commence par un hiver tout en contraste.

En effet, après un mois de décembre quasi estival, l’hiver 2016 enchaîne sur une pluviométrie record sur les deux premiers mois de l’année (entre 400 et 500 mm suivant les secteurs) mais sur des températures plus douces qu’à l’accoutumée. On notera seulement quatre à cinq matinées aux températures négatives…

Cette douceur hivernale inquiète l’ensemble des vignerons, cette inquiétude grandit lorsque l’on voit les premiers bourgeons dans le coton dès les premiers jours de février.

Mais, les températures basses du mois de Mars ainsi que des sols gorgés d’eau tempèrent la vigueur du vignoble, et le débourrement se fait avec seulement une petite semaine d’avance. Malgré cette légère avance, la fraîcheur du mois d’Avril ralentit la pousse, et on frôle même la catastrophe générale entre le 28 et le 30 Avril avec quelques gelées locales, mais la sanction a été évitée de justesse.

Contrairement à de nombreuses régions françaises, Bordeaux échappe donc aux gels printaniers. Comme si cela ne suffisait pas, le mois de Mai prend le relais avec des précipitations supérieures aux normales décennales, et la pression du mildiou atteint elle aussi un pic record avec quelques gros dégâts par endroits. De manière générale, de nombreux vignerons se demandent, s’ils vont réussir à atteindre la fleur sans encombre.

Elle se passe presque par miracle aux alentours du 10 Juin, de manière très homogène sur une période de trois à cinq jours, les seuls jours consécutifs sans pluie depuis des mois.

La récolte est belle, voir même généreuse par endroit et ce que tout le monde souhaite arrive enfin, du soleil et un temps sec.

Journal du Millésime 2015

L’hiver fut assez froid, avec bon nombre de gelées nocturnes. Il semblait long aussi, de par la succession de jours gris et humides de Novembre à Février, les pluies fréquentes et intenses.

Les réserves hydriques bien reconstituées, la situation s’inverse en Mars pour un temps sec, mais toujours froid, qui repousse toujours plus loin l’éclosion des bourgeons. Il faudra attendre les premiers jours d’avril pour voir enfin le réveil de la végétation.

Autour du 10 Avril, la douceur s’impose et les sols secs se réchauffent vite, C’est sans conteste un bon départ.

Les travaux s’enchaînent sans retard, et l’homogénéité de la sortie permet de réaliser de beaux ébourgeonnages. Dès le départ, la vigne se présente bien.

En Mai, les conditions climatiques permettent une croissance rapide et régulière, les passages pour travaux et entretien des sols sont aisés, ainsi que les possibilités d’entrée dans les vignes pour les traitements. Les sols sont secs et se ressuient assez vite.

En début d'été, les températures modérées ainsi que l’absence de précipitation permettent une floraison rapide, groupée, sans trop de coulure ou de millerandage. Les balades dans les vignes, à cette époque, sont parfumées à la fleur de vigne, les récoltes se montrent équilibrées en quantité, car les grappes sont de tailles plutôt petites et bien pleine. Dans la plupart des cas, il n’y aura pas grand chose à retoucher en termes d’éclaircissage. Le ciel reste sans nuage, accompagné d’une montée croissante des températures jusqu’en fin de mois.

Les premiers jours de Juillet sont caniculaires, le beau temps semble installé pour l’éternité, pas une goutte d’eau depuis la mi juin. La contrainte hydrique affiche alors les premiers symptômes. Dans les parcelles issues de sols mal gérés en terme de qualité d’enracinement, puis plus tard sur les sols sableux, de graves fines et tous type de sols superficiels, le vert du feuillage commence à pâlir un peu.

Alors que la crainte des blocages par la sécheresse est à son maximum, une succession d’épisode pluvieux, sous forme d’orage, arrose le bordelais de manière inégale. La première réaction de la vigne est bénéfique. Sans pour autant reprendre sa pousse, elle se débloque. La véraison, languissante dans les premiers jours, se fait en quelques jours, aussi groupée que le fut la fleur. Le point de maturité sera homogène, quelque soit la date de récolte, et c’est déjà rassurant.

En Septembre, les fruits sont murs, peu acides et facile à goûter. Le feu de juillet aura brûlé les acides et le végétal alors que la modération du mois d’août maintiendra dans le goût une idée de fraîcheur et de classicisme. Aucune dureté, aucun exotisme, une extractabilité parfaite des peaux, tout ce qu’il faut pour rendre grâce aux terroirs grâce au luxe de pouvoir faire des vinifications souples, de révéler des vins identitaires et contemporains.

Journal du Millésime 2014

Après un bel hiver d’une douceur exceptionnelle, ne comptant que quelques jours de gelée, les premiers rayons de soleil d’avril provoquent un débourrement de la vigne rapide et homogène. On compte alors deux bonnes semaines d’avance. Après la présentation morose du millésime 2013, c’est rassurant. Le climat est orageux, avec des précipitations fréquentes, peu intenses, mais régulières. Les températures se rafraîchissent dès la deuxième partie du mois, ce qui a pour effet de mettre un frein considérable à la vigueur de la pousse. L’avance sur le cycle se restreint. La météo du mois de mai garde un profil orageux et les pluies restent fréquentes. Il n’est pas simple de protéger le vignoble, de trouver l’opportunité de rentrer, alors que les traitements sont vite lessivés. Les sols, où poussent les herbes adventices que l’hiver n’a pas pu détruire, ont de la difficulté à se ressuyer après les pluies fréquentes, surtout les plus argileux. L’activité photosynthétique manque un peu d’énergie, le feuillage est un peu terne. L’inquiétude monte alors à mesure que la floraison approche. On a besoin de chaleur. Sur les secteurs précoces, on observe les premières fleurs dans les derniers jours du mois.

En aout, ambiance fraîche et orageuse, le millésime appelle encore à la vigilance. Bien des feuillages en feront les frais, se laissant envahir par un « mildiou mosaïque » assez virulent. Bien des sols, qu’il ne faudrait plus toucher, sont trop sales pour tenir jusqu’aux vendanges. L’année du vigneron se dessine, s’imprime dans le paysage. Quelques parcelles s’affichent telles des verrues dans une architecture viticole marquée par le savoir-faire des vignerons. Une image de satisfaction, un vignoble en place malgré la contrainte. En fin de mois, alors que la véraison s’achève, les raisins gonflent, gorgés d’eau. Dans nombre de parcelles, le travail est à refaire, à peaufiner. Il faut couper des grappes, affiner les effeuillages. Le soleil s’installe de manière franche, la dernière ligne droite sera longue et difficile.

Alors qu’on n’y croyait plus, les beaux jours s’enchaînent en Septembre, puis les belles semaines, laissant enfin un sentiment d’éternité. Le bilan est pourtant lourd, le poids des raisins pulvérise celui de la moyenne décennale. Les analyses de moût du début de mois laissent apparaître une situation plus mauvaise qu’en 2013. Il va falloir tenir, attendre et compter sur le maintien du beau temps. C’est une maturité d’automne, elle ne se fera pas par le soleil. Le temps, l’alternance de nuits fraîches et de jours ensoleillés ont un rôle essentiel sur l’attendrissement des peaux. Elles se dilatent, se rétractent sans cesse. Elles se tannent.

Plus que jamais, l’opportunité de la créativité pour organiser la vendange s’est présentée cette année. Nombre de domaines, qui nécessitent 10 jours pour vendanger, prirent un mois afin de rentrer chaque parcelle sous la maturité optimum, ou choisie. Les premiers merlots tombèrent vers le 20 septembre alors que les derniers cabernets quittèrent leur ceps dans les tout derniers jours d’octobre.

Journal du Millésime 2013

Journal du Millésime 2013

Après un hiver doux et humide, l’arrivée du printemps, bien que timide, permet une explosion de la végétation et la vigne débourre de manière très régulière. Tous les bourgeons explosent en même temps, exposant les mannes des futures grappes, invitant aux premiers pronostics : c’est un millésime de fruit, cela fera du bien après deux millésimes peu productifs. On va couper du raisin, et même beaucoup, selon les avis. Les températures restent basses tout le mois et freinent la pousse.

En Mai, pluies régulières et le froid tenace ne permettent pas aux sols de se réchauffer, surtout dans les argiles. C’est dans la deuxième quinzaine de mai que les symptômes de froid se manifestent. La pousse devient irrégulière, selon le type de sol, et le manque de végétation pour l’époque est indéniable. Le feuillage est terne, tirant sur le vert pâle. Les feuilles sont épaisses, la vigne a froid. La tendance ne s’inverse pas en Juin et le froid demeure durant tout le mois. Les participants à Vinexpo Bordeaux se souviendront longtemps de la violence des averses ainsi que de la fraîcheur des soirées festives, telle la Fête de la Fleur ou autre. C’est dans ces conditions assez dramatiques que démarre la floraison. Très longue sur le cépage merlot, un peu plus courte sur les cabernets, l’expulsion des capuchons s’étire sur deux semaines occasionnant une coulure importante, ainsi qu’une fabuleuse possibilité d’intrusion pour le botrytis, dans une période des plus sensibles.

Le bilan du 1er juillet est déprimant. On sait déjà que la récolte sera petite, et la vigne accuse trois semaines de retard sur son cycle végétatif. C’est énorme. Par chance, la chaleur s’installe durablement et redonne le sourire aux vignerons. Les jours de beau temps, chauds et secs, s’enchaînent tout le mois et donnent un sentiment d’éternité. Le retard se rattrape. Juillet sera le mois le plus chaud de ces vingt dernières années. Le botrytis est en sommeil, latent, et le feuillage a repris de la splendeur.

La véraison commence timidement et s’étire de la même manière que la floraison. Il faudra souvent passer dans les vignes afin d’affiner l’homogénéité de la maturité en queue de véraison. Malgré les petits rendements, il faut encore couper des grappes. Les contre effeuillages commencent alors. Le compte à rebours est déclenché. Il faudra tenir longtemps.

En moyenne, les vendanges devraient commencer autour du 7 octobre pour les merlots et on pouvait logiquement croire à un beau millésime tardif, comme le furent 2008 ou 2011. Les vignes bien préparées, avec des grappes généralement lâches en raison de la coulure, pouvaient tout à fait aller au bout, à la parfaite maturité. Dès le 20 septembre, les températures remontent alors que l’humidité s’installe. Dans ce climat de type tropical, le champignon ne tarde pas à se réveiller. La situation n’est pas générale, et sans doute le type de sol comme les quantités d’eau reçues lors des orages du mois d’août ont eu leur importance. Au-delà de la précision, du talent des vignerons, ce millésime aura exigé d’avoir de la chance. Souvent, il a fallu démarrer les vendanges en fin de mois pour des raisons sanitaires.

Journal du Millésime 2012

Le printemps frais et humide provoque un débourrement assez tardif. Jusqu’en juillet, la pluie et l’humidité de l’air restent constantes. Ces conditions nous poussent à conserver intégralement les céréales semées à l’automne 2011. Elles permettent de limiter l’érosion des sols, de garantir la portance nécessaire au passage des outils, de concurrencer la vigne pour éviter les excès de vigueur. Le travail racinaire est très bénéfique au printemps où leur pousse est accrue. Seules les parties très faibles du vignoble, et qui ont besoin d’être stimulées (pointe du plateau par exemple), sont labourées dès le printemps. Le gel frappe les cabernets francs et les parties basses du domaine proches du bois. La récolte s’annonce déjà limitée en volume sur ces zones qui prennent du retard dans le cycle et seront ramassées en conséquence.

Les ébourgeonnages corrigent les excès de pousse et de charge, et sont réalisés assez rapidement. Les levages demandent beaucoup d’efforts cette année où la vigne ne cesse de pousser.

Paradoxalement, ce printemps excessivement pluvieux intervient après deux années de sécheresse et permet aux sols de reconstituer une partie des réserves lourdement déficitaires jusqu’alors. En même temps, c’est un coup de pousse qui arrange bien Clarisse dont le plateau souffrait d’un sérieux manque de vigueur. L’eau en abondance conjuguée aux apports de compost antérieurs et aux travaux de sols nous permet dès 2012 de retrouver de beaux bois et un meilleur équilibre de la vigueur. C’est la garantie de pouvoir tailler un peu plus long en 2013, et pour la plante d’améliorer les mises en réserve dans les racines ainsi que sa résistance aux stress hydrique à venir.

L’été s’installe après une floraison un peu difficile, marquée par une coulure importante mais raisonnable. La floraison s’étale sur 15 à 20 jours. C’est autant d’hétérogénéité d’une grappe à l’autre du point de vue de la maturité. Dès lors, nous prenons la décision de n’intervenir en vert que sur la présentation de récolte dans un premier temps, en jouant sur la ventilation (effeuillage et suppression des entassements de récolte). Nous attendrons la fin de la véraison pour supprimer toutes les grappes en retard. C’est le seul moyen d’obtenir une récolte à la maturité homogène. Il faudra passer et repasser dans les vignes jusqu’à la fin du mois d’août pour supprimer les grappes qui auront fleuri en retard.

Le terroir de Clarisse est plutôt froid. Les argiles conservent l’eau et confèrent des maturités tardives. Les pluies de la mi-septembre nous laissent craindre le botrytis, mais les travaux de présentation de récolte, d’entretien des sols et d’effeuillage ne permettent pas son installation. Les peaux sont épaisses, la maturité est longue, c’est un millésime d’automne, il faut vendanger tard.

Journal du Millésime 2011

Le soleil s’installe dès les premiers jours du mois provoquant un débourrement explosif. D’une homogénéité rare, les jeunes branches poussent à vue d’œil et le paysage se pare d’un vert chatoyant. Le printemps est là. Les travaux d’ébourgeonnage, de sélection des jeunes pousses, ainsi que la protection phytosanitaire, sont prioritaires, alors que la chaleur s’installe, les sols s’assèchent, durcissent et rendent très compliqués les travaux mécaniques de labour ou de griffage. L’avance de la végétation est considérable ; on prend des paris sur l’apparition des premières fleurs, qu’on observera dès les premiers jours de mai. La moyenne des températures s’élève au-dessus de 16 degrés, ce qu’on trouve habituellement en fin mai. Avec 300 heures d’ensoleillement, c’est un mois d’avril exceptionnel que l’on n’a pas observé depuis 1982. En Mai, après une floraison homogène et groupée, les belles promesses de récolte sont quasi générales. Le soleil reste solidement installé alors que les orages sont constamment repoussés. La sécheresse commence à se faire sentir. Peu à peu, les feuilles durcissent et prennent des teintes plus ternes. L’herbe des sols, qui souvent n’ont pu être travaillés, ressemble à la fenaison de juillet. C’est l’été avant l’heure !

En Juin, cela fait maintenant sept mois que le niveau des pluies se situe en deçà des normales saisonnières. Par chance, il ne fait pas trop chaud et les nuits sont fraîches. Les orages sont trop timides et ne laissent au total qu’une vingtaine de millimètres d’eau pour le mois. A peine de quoi humecter la poussière ! Le vignoble est très hétérogène. Les sols filtrants, graveleux ou sableux, sont dans la souffrance. Leur pousse est faible, le port des feuilles par les branches manque d’allure, de fierté presque. La faible pousse laisse aussi apparaître un déficit foliaire. Non à cause de grappes pléthoriques, mais par manque de feuilles.

Le temps change radicalement et le mois de juillet devient le mois le plus frais de ces trente dernières années. La pluie revient aussi. Il pleuvra chaque jour du 16 au 26, laissant le souvenir d’un juillet maussade, triste et sans lumière. La vigne en profite pour se refaire une santé. Elle cicatrise, elle pousse de nouveau et les raisins gonflent. Grâce à l’avance de cycle occasionné par la sécheresse du printemps, la véraison est homogène et groupée. La vigne semble se reconnecter avec les messages du ciel.

Avec une douzaine de jours pluvieux, on peut considérer ce mois d’août comme arrosé, mais assez chaud. En deuxième partie de mois, la fraîcheur s’installe peu à peu avec des nuits fraîches. La première quinzaine de septembre est estivale, avec des nuits assez chaudes.

2011 restera dans les mémoires comme un millésime compliqué. Il fallait avoir un peu d’argile pour passer le printemps mais pas trop pour passer l’automne. Un millésime qui récompense ceux qui ont depuis longtemps une bonne gestion de leur sol et des enracinements de qualité, profonds. La prophylaxie était parfois plus importante que la charge, qui, elle, devait être adaptée au cycle et à la qualité du feuillage. Les caves devaient être bien équipées en matériel de tri, face à une vendange qui pouvait présenter des grains secs, des grains flétris et/ou des grains pourris. Face à ce millésime, le vinificateur avait aussi à étalonner la fragilité de ses raisins afin d’adapter ses vinifications en terme d’extraction.

Découvrez

Les commentaires de dégustations des plus grands critiques

Critiques:
Cuvée:
Année:
Wine Image Here

2024 – Primeur – Puisseguin-Saint-Emillion, CuvĂ©e « Vieilles Vignes » – James Suckling

A textured and delicious red with cherries and warm spices. Medium-bodied with fine tannins. Juicy and seductive with a flavorful finish.
James Suckling
Wine Image Here

2024 – Primeur – Château Clarisse, Puisseguin-Saint-Emilion – Yves Beck – 90-92/100

Yves Beck
Wine Image Here

2022 – Château Clarisse, Castillon CĂ´tes de Bordeaux, CuvĂ©e Allegria – Guide Hachette 2026 – 3* et Coup de Coeur

Guide Hachette
Wine Image Here

MĂ©daille d’or – Challenge des Terroirs 2025 – Clarisse Chardonnay 2023

Médaille d'or - Challenge des Terroirs 2025 - Clarisse Chardonnay 2023
Challenge des terroirs
Wine Image Here

2024 – Primeur – Château Clarisse, Castillon CĂ´tes de Bordeaux, CuvĂ©e Allegria – Yves Beck – 90-91/100

Yves Beck
Wine Image Here

2020 – Castillon CĂ´tes de Bordeaux – Le Guide Hachette des Vins 2024 – 1* (vin très rĂ©ussi)

Ce pur Merlot, élevé un an en barrique, se révèle suave, profond et bien équilibré en bouche, avec un fruit mûr et une belle présence tannique. Ample, harmonieux et soutenu par un millésime abouti, ce vin constitue une très belle réussite.
Guide Hachette
Wine Image Here

2023- Château Clarisse Castillon CĂ´tes de Bordeaux – James Suckling – 91-92

James Suckling
Wine Image Here

2024 – Primeur – Clarisse Chardonnay – Vin de France – Yves Beck – 90-92/100

Yves Beck
Wine Image Here

2023 – Château Clarisse Saint Emilion Puisseguin CuvĂ©e Vielles Vignes – James Suckling – 92-93

James Suckling
Wine Image Here

2023 – Clarisse Chardonnay – VINOUS – Neal Martin – 87-89

Le Chardonnay 2023, premier millésime du domaine, présente un bouquet attrayant avec de légères senteurs de verveine citronnée et de camomille. La bouche est fraîche en entrée avec des senteurs de fruits de la passion et de léger fumé. Des touches de pêche apparaissent en fin de bouche. Il s'agit d'un premier vin tout à fait correct. VINOUS - Neal Martin
Neal Martin
Wine Image Here

2023 – Château Clarisse Puisseguin-Saint-Emilion – Terre de Vins – 90-100

Terre de Vins
Wine Image Here

2023 – Château Clarisse Puisseguin-Saint-Emilion CuvĂ©e Vieilles Vignes – Bettane+Desseauve – 89-90

Bettane + Desseauve
Wine Image Here

2022 – Château Clarisse Castillon CĂ´tes de Bordeaux – James Suckling – 94

Note 94 - Un rouge vif, transparent, précis et attrayant aux arômes de cerise noire, de bleuet, de violette et d'épices douces.
James Suckling
Wine Image Here

2022 – Château Clarisse Puisseguin Saint Emilion – James Suckling – 92

Note 92 - Ce rouge bien équilibré, harmonieux et brillant présente des arômes de cerise noire, de prune, de pierre et de fleurs. Il est moyennement corsé et doté de tanins fins.
James Suckling
Wine Image Here

2022 – Puisseguin Saint Emilion CuvĂ©e Vieilles Vignes – James Suckling – 92

Note 92 - Un rouge velouté, équilibré et vif qui révèle des arômes de cerise, de framboise, de tapis forestier et d'épices chaudes. La bouche mi-corsée et délicieusement expressive est dotée de tanins granuleux.
James Suckling
Wine Image Here

2017 – Château Clarisse Puisseguin-Saint-Emilion – RVF Guide des Meilleurs Vins de France 2022 – 91/100

"Coup de cœur" pour la Revue des Vins de France, dans le Guide des Meilleurs Vins de France 2022 : "Ce 2017 est crémeux : les fruits ont conquis la matière sobre. Le bouquet en place s'étoffe d'un fruit audacieux. Le volume est sphérique en bouche tout en conservant l'allonge particulière du cru."
Revue des Vins de France
Wine Image Here

2022 – Primeurs – Castillon CĂ´tes de Bordeau, CuvĂ©e Allegria – Vert de vin – 90-91/100

Vert de Vin
Wine Image Here

2022 – Primeurs – Château Clarisse Vieilles Vignes – Vert de vin – 91/100

Vert de Vin
Wine Image Here

2019 – Château Clarisse, Castillon CĂ´tes de Bordeaux – James Suckling – 90/100

Au nez, des arômes de cerise, de prune, de champignon, de cèdre et de praliné. Corps moyen, avec des tanins fermes. Une texture charnue et boisée, se terminant sur une finale ample et consistante à ce stade. À déguster à partir de 2023.
James Suckling
Wine Image Here

2022 – Château Clarisse, Puisseguin-Saint-Emilion – Guide Hachette 2026 – 1*

Guide Hachette
Wine Image Here

2022 – Château Clarisse, Vieilles Vignes – Guide hachette 2026 – 2* & Coup de Coeur

Guide Hachette
Wine Image Here

2019 – Château Clarisse, Vieilles Vignes – James Suckling – 92/100

Blackberries, orange peel and some floral undertones. It’s medium-bodied with medium, round tannins. Fruity finish. Shows character. Better after 2022, but already delicious. Note: 92
James Suckling
Wine Image Here

2019 – Château Clarisse, Castillon Côtes de Bordeaux – Decanter – 91/100

Le nez dévoile une touche florale rappelant le pot-pourri, agréablement aromatique. En bouche, une belle fraîcheur se déploie, marquée par des notes éclatantes et juteuses de fraise et de cerise rouge. Les tanins, souples mais présents, apportent un peu de corps et de texture. Ce n’est pas un vin spectaculaire, mais il séduit par son énergie, son accessibilité et sa facilité de dégustation. Un vin charmant, harmonieux, avec une finale mentholée et rafraîchissante. Fenêtre de dégustation : 2022 – 2026.
Decanter
Wine Image Here

2019 – Château Clarisse, Puisseguin-Saint-Emilion – Decanter – 90/100

Nez expressif et séduisant, empli de cassis et de myrtille. La texture est superbe, les tanins veloutés et généreux soutiennent une bouche débordante de cerise rouge, de mûre et de fraise. Le fruit est mûr, avec une légère douceur rappelant la confiture, équilibrée par une acidité maîtrisée qui apporte fraîcheur et vivacité. Très belle qualité d’ensemble. Un vin à déguster dès maintenant ou à conserver en cave. Fenêtre de dégustation : 2022 – 2029.
Decanter
Wine Image Here

2017 – Château Clarisse, Puisseguin-Saint-Emilion, Vieilles Vignes – Guide Hachette 2021 – 2*

Notre millésime 2017 du Château Clarisse Puisseguin-Saint-Emilion Vieilles Vignes figure parmi les Guide Hachette des Vins 2021 avec deux étoiles ! Deux étoiles distingue un vin « remarquable ». Ces vins représentent 20% des cuvées retenues à l’aveugle par les dégustateurs : le dessus du panier. Ce sont en quelque sorte les vins « médaillés d’argent » du Guide Hachette des vins. Commentaire de dégustation : « Encore marquée par un long séjour au contact du bois, cette cuvée s’exprimer avec vigueur, comme l’annonce le pourpre intense de sa robe. Une riche olfaction (torréfaction, vanille, fruits noirs) précède une bouche armée de tannins solides mais au grain soyeux et de saveurs chocolatées. Encore austère, la finale laisse augurer une longévité de plusieurs années »
Guide Hachette
Wine Image Here

2018 – Château Clarisse Puisseguin-Saint-Emilion – James Suckling – 91/100

Château Clarisse – Puisseguin-Saint-Emilion 2018 – 91/100 Blueberry and blackberry with some lavender. Medium to full body, lightly firm tannins and a fresh finish. Good tension for the appellation. Better after 2021 Note: 91
James Suckling
Wine Image Here

2018 – Château Clarisse, Vieilles Vignes – James Suckling – 92

Château Clarisse – Vieilles Vignes 2018 – 92/100 A medium-bodied red with very nice density and layers. Firm, silky tannins and a flavorful finish. Blue fruit and black-tea undertones. Some bark and moss, too, suggesting the old vins. Try after 2021. Note: 92
James Suckling
Wine Image Here

2020 – Château Clarisse Castillon CĂ´tes de Bordeaux – James Suckling – 91/100

James Suckling
Wine Image Here

2020 – Château Clarisse Puisseguin Saint-Emilion – James Suckling – 91/100

James Suckling
Wine Image Here

2020 – Château Clarisse Vieilles Vignes – Yves Beck – 91/100

Yves Beck
Wine Image Here

2020 – Castillon CĂ´tes de Bordeaux – J.Dunnuck – 90/100

Le Château Clarisse Cuvée Allegria 2020, à la robe rubis aux reflets pourpres, présente une minéralité typique de Castillon, ainsi qu’une belle palette de fruits rouges, bleus et noirs. Sa bouche, de corps moyen à plein, offre des tanins mûrs, un équilibre remarquable et une grande pureté d’expression. Un très beau vin, qui devrait évoluer harmonieusement pendant 8 à 10 ans s’il est bien conservé.
Jeb Dunnuck
Wine Image Here

2020 – Château Clarisse « Vieilles Vignes » – J.Dunnuck – 91/100

Taillée dans le même esprit, mais d’un niveau supérieur, la cuvée Château Clarisse Vieilles Vignes 2020 présente de superbes arômes de cassis et de cerise noire, accompagnés de notes de cèdre, de violette et de nuances florales. Ce 2020, de corps moyen à plein, élégant et doté d’une belle structure, gagnera à vieillir deux à trois ans en bouteille et offrira ensuite un excellent potentiel de dégustation pendant la décennie suivante.
Jeb Dunnuck
Wine Image Here

2020 – Château Clarisse, CĂ´tes de Bordeaux – Anderas Larsson – 93/100

Andreas Larsson
Wine Image Here

2020 – Château Clarisse « Vieilles Vignes » – Anderas Larsson – 94/100

Andreas Larsson
Wine Image Here

2020 – Château Clarisse, Puisseguin-Saint-Emilion – Anderas Larsson – 91/100

Robe d’un pourpre profond aux reflets encre. Nez pur, marqué par un léger boisé, des arômes de cerise écrasée, de cassis et quelques notes crayeuses. La bouche offre un beau volume, une texture jeune mais des tanins mûrs, soutenue par une trame fraîche et des couches de petits fruits écrasés, se prolongeant sur une finale longue et nette.
Andreas Larsson
Wine Image Here

2020 – Château Clarisse Puisseguin Saint-Emilion – Yves Beck – 90/100

Yves Beck
Wine Image Here

2019 – Château Clarisse, Castillon CĂ´tes de Bordeaux – Yves Beck – 90/100

Note: 90
Yves Beck
Wine Image Here

2019 – Château Clarisse, Puisseguin-Saint-Emilion – Yves Beck – 90/100

Yves Beck
Wine Image Here

2019 – Château Clarisse Vieilles Vignes – Yves Beck – 92/100

Note: 92
Yves Beck
Wine Image Here

2019 – Château Clarisse, Puisseguin-Saint-Emilion – Vert de Vin, Jonathan Choukroun – 90-91/100

Le nez offre de la gourmandise. On y retrouve des notes de mûre écrasée, de fraise écrasée et plus légèrement de petits fruits pulpeux associés à des touches de vanille Bourbon ainsi qu’à une pointe de noisette et à une très discrète pointe presque bergamote (en fond). La bouche est fruitée, équilibrée et offre de la jutosité, de l’acidulé / une trame acidulée, une certaine gourmandise, de la tension ainsi qu’une petite droiture. En bouche ce vin exprime des notes de mûre juteuse / pulpeuse, de cassis éclatant et plus légèrement de framboise écrasée associées à des touches de bleuet, de vanille, d’épices douces ainsi qu’à une subtile pointe d’amande toastée. Bonne longueur. De la sapidité en fin de bouche / persistance.
Jonathan Choukroun
Wine Image Here

2019 – Château Clarisse, Puisseguin-Saint-Emilion – Jancis Robinson – 16.5/20

A little stinky on the nose – drains. Less plush and less glossy fruit than the regular bottling. Drying tannins. But plenty tucked in for the longer term and some rather exciting intensity of dark fruit and minerals at the core. Note: 16.5/20
Jancis Robinson
Wine Image Here

2019 – Château Clarisse, Vieilles Vignes – Jancis Robinson – 16.5/20

Nez légèrement réduit, avec une touche évoquant les effluves de cave. Le fruit est moins charmeur et moins éclatant que sur la cuvée classique. Les tanins se montrent un peu asséchants, mais la structure recèle un beau potentiel de garde, soutenue par une intensité prometteuse de fruits noirs et de notes minérales en son cœur.
Jancis Robinson
Wine Image Here

2019 – Château Clarisse Vieilles Vignes – Decanter – 91

Lovely nose, aromatic and expressive. Really enjoyable texture here, everything feels nicely balanced and packaged with bright black fruit flavours combined with acidity and freshness. Tannins are fine but relatively present in the mouth, giving a softly round structure to the palate. Lovely. Note: 91
Decanter
Wine Image Here

2019 – Château Clarisse, Vieilles Vignes – Vinous – Neal Martin – 91/100

Le Château Clarisse Cuvée Vieilles Vignes 2019 présente un bouquet raffiné et généreux, aux séduisants arômes de framboise et de myrtille, rappelant la cuvée classique mais avec davantage de puissance. La bouche, de corps moyen, offre des tanins souples, une texture charnue et généreuse, bien que, curieusement, elle ne montre pas tout à fait la même vigueur que la cuvée principale. Elle révèle néanmoins une belle persistance en finale.
Neal Martin
Wine Image Here

2019 – Château Clarisse Vieilles Vignes – Andreas Larsson – 93

Inky dark core with a purple hue. Fine toast and smoke with aromas of ripe blackberry, cassis and some meaty notes. Polished and dense palate, modern and glossy with a fine vein of freshly, crushed dark berries, some meaty and spicy notes leading to a long finish. Note: 93
Andreas Larsson
Wine Image Here

2019 – Château Clarisse Castillon, Côtes de Bordeaux – Andreas Larsson – 93

Robe grenat dense aux reflets pourpres. Le nez révèle des arômes de fruits sauvages, des notes crayeuses, de violette, de tabac fin et un boisé subtil. En bouche, une belle concentration et une densité marquée, mais avec une texture élégante et soyeuse. Les tanins poudrés sont abondants mais bien intégrés, le boisé parfaitement fondu, les saveurs de fruits noirs généreuses, et la finale longue, vive et vibrante.
Andreas Larsson
Wine Image Here

2018 – Château Clarisse, Vieilles Vignes – MĂ©daille d’argent

Nous sommes heureux de vous informer que le Château Clarisse Puisseguin Saint Emilion Vieilles Vignes a reçu la MEDAILLE D’ARGENT au Concours International de Lyon. C’est un grand honneur de recevoir cette médaille.
Médaille d’argent
Wine Image Here

2018 – Château Clarisse Puisseguin-Saint-Emilion – Médaille d’argent

Nous sommes heureux de vous informer que le Château Clarisse Puisseguin Saint Emilion a reçu la MEDAILLE D’ARGENT au Concours International de Lyon. C’est un grand honneur de recevoir cette médaille
Médaille d’argent
Wine Image Here

2018 – Château Clarisse, Vieilles Vignes – Jeb Dunnuck – 90/100

Coming from a selection of old vines on the upper plateau, the 2018 Château Clarisse Cuvée Vieilles Vignes is another outstanding wine from this estate that has perfumed cassis and black raspberry fruits as well as spice, toasty oak, and dried flower-like aromas and flavors. Medium-bodied and nicely balanced, with silky tannins, it’s well worth following over the coming 10-12 years or so. Note: 90
Jeb Dunnuck
Wine Image Here

2018 – Château Clarisse, Vieille Vignes – Guide Hachette 2022 – Vin remarquable 2*

Nous sommes heureux de vous annoncer que notre cuvée Vieilles Vignes 2018 a été récompensée de deux étoiles par le Guide Hachette des Vins 2022. Deux étoiles c’est une note qui distingue les vins remarquables pour le guide et nous vous laissons découvrir les commentaires du Guide Hachette et de Margot Ducancel, Rouge aux Lèvres sur Instagram et auteur de la préface du guide « Le Bordelais selon Margot » « Présente à la finale qui réunit les prétendants aux coups de cœur, cette cuvée élevée 16 mois en barrique dévoile une tonique expression du fruit, agrémentée de légères notes mentholées et boisées. En bouche, des tanins bien domestiqués se font complices d’une palette aromatique expressive à l’unisson du bouquet. Un vin harmonieux et complet. » « Ma révélation de l’année . On n’est pas à Saint-Emilion, mais pas loin. Ce domaine tout en bio et en biodynamie est travaillé avec talent par Olivia et Didier Le Calvez. »
Guide Hachette
Wine Image Here

2017 – Château Clarisse Puisseguin-St.-Emilion – James Suckling – 91/100

Château Clarisse – Puisseguin-Saint-Emilion 2017 – 91/100 A ripe, fruity wine for the vintage with blackberry and blueberry character. Full body, firm and lightly chewy tannins and a flavorful finish. Drinkable now, but better in a year or two. Note: 91
James Suckling
Wine Image Here

2017 – Château Clarisse Vieilles Vignes – Jancis Robinson – 16,5/20

An intense blackcurrant-and-green-pepper nose – but sweet, like some kind of weird Fat-Duck-style bonbon. Big, ripe cassis fruit on the palate, cocooned in sooty tannins. Dry, firm but reasonably trestrained tannic structure. Sandalwoo and freshly planed pine. Full-bodied but has kept its focus. Note: 16/20
Jancis Robinson
Wine Image Here

2017 – Château Clarisse, Vieilles Vignes – Jancis Robinson – 16.5/20

Nez intense de cassis et de poivron vert – mais avec une touche sucrée, évoquant un bonbon original à la manière du Fat Duck. En bouche, un fruit de cassis ample et mûr, enveloppé de tanins aux accents fumés. Structure tannique sèche, ferme mais relativement contenue. Des notes de santal et de pin fraîchement taillé. Vin corsé, qui conserve néanmoins sa précision. Après trois jours, l’ensemble s’était nettement fondu, le fruit s’intégrant harmonieusement aux tanins. À carafer si l’on souhaite le déguster jeune.
Jancis Robinson
Wine Image Here

2015 – Château Clarisse « Vieilles Vignes » – Neal Martin – 90-92/100

Neal Martin
Wine Image Here

2014 – Château Clarisse Vieilles Vignes – James Suckling – 91-92

This has a very old vine character with wet earth, shitake mushroom and a dark fruit notes. Full body, velvety tannins and a flavorful finish. Lots of potential here. Note: 91-92
James Suckling
Wine Image Here

2014 – Château Clarisse Vieilles Vigne – Jancis Robinson – 16/20

Rather fruity and sumptuous. Real attack and lift. Interest and some depth though it’s definitely not more than medium bodied. Note: 16/20
Jancis Robinson
Wine Image Here

2014 – Château Clarisse Vieilles Vignes – J. Molesworth: The Wine Spectator – 89-92

Features a sappy edge, with blueberry and plum paste notes studded with anise and fruitcake accents, kept lively with a good bramble detail on the finish. A small property where Stéphane Derenoncourt consults; worth keeping an eye on. Note: 89-92
Wine Spectator
Wine Image Here

2014 – Château Clarisse Vieilles Vignes – Jacques Perrin pour Vinifera – 90

Note: 90
Jacques Perrin
Wine Image Here

2014 – Château Clarisse Vieilles Vignes – Steven Spurrer – Decanter – 16.75/20

Very good colour, lovely fragrance on the nose and more length than Clarisse on the palate, quite rich and succulent yet totally balanced, the aroma is so good that the palate just flows afterwards with ripeness, lift and fragrance, a beautifully made wine, very expressive of its vineyard. Note: 16.75/20
Decanter
Wine Image Here

2014 – Château Clarisse Vieilles Vignes – Jeff Leve – 89-90

Made from vines that average 65 years of age, produced a wine packed with rich, lush, ripe, sweet fruits, supple, soft, elegant textures and a long, sweet, fruit filled finish. This will drink well on release and can age too. Note: 89-90
Jeff Leve
Wine Image Here

2014 – Château Clarisse « Vieilles Vignes » – Neal Martin for Robert Parker – 89-91/100

Note: 89-91
Neal Martin
Wine Image Here

2010 – Château Clarisse « Vieilles Vignes » – James Suckling – 93/100

James Suckling
Wine Image Here

2010 – Château Clarisse, « Vieilles Vignes » – James Suckling – 93/100

James Suckling
Wine Image Here

2021 – Château Clarisse, Castillon CĂ´tes de Bordeaux – James Suckling – 90/100

James Suckling
Wine Image Here

2021 – Château Clarisse, Puisseguin-Saint-Emilion – James Suckling – 90/100

James Suckling
Wine Image Here

2021 – Château Clarisse, Saint-Emilion-Puisseguin, CuvĂ©e Vieilles Vignes – James Suckling – 91/100

James Suckling
Wine Image Here

2021 – Château Clarisse « CuvĂ©e Vieilles Vignes » – Yves Beck – 92

La Cuvée Vieilles Vignes de Château Clarisse souligne le potentiel qualitatif de cette propriété. Les nuances crayeuses, accompagnées de notes de cerises et de sureau mettent lumière la complexité du bouquet. De bonne densité, le vin est soutenu par des tannins soyeux et légèrement suaves qui sont en phase avec la tension de la structure acide. Le vin s'en retrouve frais, sapide, vif et persistant. Une belle réussite !
Yves Beck

Découvrez

L'élevage de nos vins

Depuis la crĂ©ation du vignoble, nous avons choisi d’Ă©lĂ©ver nos vins en barriques de chĂŞnes français. Chaque barrique apporte au vin un goĂ»t particulier et une structure diffĂ©rente, qui trouvent tout leur intĂ©rĂŞt au moment des assemblages. nous accordons un soin tout particulier au choix des tonneliers avec qui nous travaillons. Depuis le dĂ©but, nous faisons confiance Ă  Seguin-Moreau et Taransaud, deux rĂ©fĂ©rences mondiales originaires de Cognac. Plus rĂ©cemment, nous avons commencer Ă  travailler avec la tonnelerie Orion, basĂ©e dans le Tarne-et-Garonne, dont les barriques s’avèrent correspondre parfaitement Ă  la structure de nos vins.

Nous rendre visite

Plus d'informations pour organiser votre visite au vignoble

Notre vignoble